Перевод текста drogues un trafic mondial

Конспект урока французского языка в 9 классе на тему «Наркотики».

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Урок французского языка в 9 классе.

Тема урока : «Drogues. Un trafic mondial”.

Практические задачи: 1. Презентация лексики по теме “Наркотики».

2. Учить чтению газетной статьи.

3. Учить отвечать на вопросы по содержанию газетной

Воспитательные задачи: прививать стремление к здоровому образу жизни.

Общеобразовательные задачи: познакомить с важной и актуальной проблемой нелегальной торговли наркотиками.

Оснащение урока: газета на французском языке « Junior ’.

Приветствие. Объявление темы урока, его целей и задач.

1) Ecoutez de nouveaux mots.

2) Repetez des mots après moi.

3) Lisez les mots, prononcez-les bien.

4) Lisez le titre de l’article, dites de quoi s’agit-il dans cet article.

5) Dites combien de parties y a-t-il dans cet article.

6) Lisez les intertitres, qu’en pensez-vous de quoi s’agit-il dans chaque partie de l’article.

7) Trouvez les propositions avec les mots nouveaux et traduisez-les.

8) Testez si vous avez bien compris l’article:

1. В статье речь идёт о незаконной торговле наркотиками… (во Франции, в мире, в США).

2. Представители 185 государств соберутся в США, чтобы… (выработать закон о запрете торговли наркотиками, выработать меры по сокращению потребления наркотиков, ввести дополнительные санкции для стран-наркоэкспортёров).

3. Потребление наркотиков в мире … (растёт с каждым годом, уменьшается с каждым годом, остаётся неизменным из года в год).

5. Среди наркоманов подавляющую часть составляют … (люди среднего возраста, люди старшего возраста, молодёжь).

6. На средства, вырученные от продажи наркотиков… (возделываются новые плантации кукурузы и кофе, оплачиваются услуги людей, обслуживающих наркомафию, ведутся новые исследования в области агрохимии).

7. Чтобы борьба с производством и потреблением наркотиков была более эффективной, необходимо … (укреплять сотрудничество между представителями различных правоохранительных органов, запретить выращивание культур, из которых получают наркотики, усилить меры наказания за потребление наркотиков).

9. Choisissez entre les deux variantes ci-dessous celle qui correspond au contenu de l’article.

1) Le traffic de la drogue … (se developpe, diminue).

2) La consommation mondial de drogue… (augmente, diminue).

3) L’heroine et la cocaine sont les drogues … (dangereuses, douces).

4) Les consommateurs de drogue sont de plus en plus … (jeunes, ages).

5) Les representants de 185 Etats se sont reunis pour … la lutte contre la drogue dans le monde. (organiser, empecher)

6) Il faut … les drogues. (soigner, punir)

7) Pendant la reunion a New York, les Etats se sont engages a … la lutte contre les trafiquants de drogue. (renforcer, diminuer)

8) Les hommes politiques honnetes … les trafiquants de drogue. (luttent contre, protegent contre la justice).

9) Les Etats essayent d’ … la culture de la drogue en aidant les paysans. ( encourager, empecher)

10) Le gouvernement bolivien et les Nations Unies … la culture du palmier, du the ou de la menthe. (encouragent, decouragent)

11) Les Etats doivent … la cooperation entre leur police et leurs juges pour lutter contre le developpement du traffic de la drogue. (renforcer, mettre fin a)

12) Il faut … commerce de la drogue. (mettre fin au, augmenter le)

13) Les trafiquants de drogue … des policiers et des hommes politiques malhonnetes qui les protegent de la justice. ( payent, luttent contre)

14) Les Etats qui se sont reunis a New York s’engagent a diminuer la consommation mondial de drogue… (d’ici 10 ans, il y a 10 ans).

10. En unilisant les mots et les expressions suivants, formulez les reponses aux questions suivantes: Quel est l’etat des choses dans le monde avec la consummation de drogue? Que faut0il faire pour lutter contre la drogue?

Le traffic de drogue, la consummation de drogue, l’heroine, la cocaine, le cannabis, les jeunes, la lutte contre la drogue, la culture de café, le commerce de drogue, la cooperstion entre les Etats, augmenter, se developper, diminuer, consommer, decourager, lutter contre, mettre fin a, empecher, organizer, renforcer, encourager.

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Перевод текста drogues un trafic mondial

trafic — [ trafik ] n. m. • 1339; it. traffico; origine incertaine I ♦ Vieilli Commerce. Faire trafic de (qqch.) : négocier. ♢ Mod. Péj. Commerce plus ou moins clandestin, immoral et illicite. Trafic des bénéfices ecclésiastiques. ⇒ simonie. « l… … Encyclopédie Universelle

trafic — TRAFÍC, traficuri, s.n. 1. Totalitatea transporturilor de mărfuri sau de persoane care se fac pe o anumită cale de comunicaţie, cu anumite mijloace de transport, într un interval de timp şi în condiţii precizate. ♦ Totalitatea legăturilor de… … Dicționar Român

trafic — TRAFIC. s. m. Negoce, commerce de marchandises, d argent. Bon, grand, riche trafic. le trafic du Levant, des Indes, de la mer Baltique &c. il fait trafic en Espagne, en Angleterre. trafic de vins, de bled &c. il s est mis dans le trafic. il fait… … Dictionnaire de l’Académie française

trafić — dobrze, szczęśliwie, źle, nieszczęśliwie a) «znaleźć się we właściwym lub niewłaściwym miejscu, przybyć gdzieś we właściwym lub niewłaściwym momencie»: Władzio zobaczył mnie przy stoliku i zaśmiał się hałaśliwie. – Cześć, Jasiu! – zawołał. –… … Słownik frazeologiczny

Trafic — Der Renault Trafic ist ein Kleinbus/Kleintransporter des französischen Herstellers Renault. Leichte Nutzfahrzeuge dieses Namens gibt es im Renault Programm seit 1981. Inhaltsverzeichnis 1 Renault Trafic I 1981–2001 2 Renault Trafic II seit 2001… … Deutsch Wikipedia

Trafic — Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Pour l’article homophone, voir Traffic. Sur les autres projets Wikimedia : « Trafic » … Wikipédia en Français

trafic — (tra fik) s. m. 1° Commerce de marchandises. • Un marchand grec en certaine contrée Faisait trafic. LA FONT. Fabl. VIII, 18. • Carthage enrichie par son trafic, voyait tous ses citoyens attachés à leurs richesses, BOSSUET Hist. III, 6.… … Dictionnaire de la Langue Française d’Émile Littré

TRAFIC — s. m. Négoce, commerce de marchandises. Bon, grand, riche trafic. Le trafic des cuirs, des porcelaines, des grains, des vins, du blé, etc. Il fait un grand trafic en Espagne, en Angleterre, etc. Il s est mis dans le trafic. Il fait trafic de… … Dictionnaire de l’Academie Francaise, 7eme edition (1835)

TRAFIC — n. m. Négoce, commerce de marchandises. Le trafic des cuirs, des porcelaines, des grains. Il fait un grand trafic en Espagne, en Angleterre. Il fait trafic de toutes sortes de marchandises. Il se dit, figurément et en mauvaise part, du Profit… … Dictionnaire de l’Academie Francaise, 8eme edition (1935)

Trafic — Para la película de Steven Soderbergh de 2000, véase Traffic (película). Trafic Título Trafic Ficha técnica Dirección Jacques Tati Pr … Wikipedia Español

Trafic — Infobox Film name = Trafic caption = Original French poster director = Jacques Tati producer = Robert Dorfmann writer = Jacques Tati Jacques Lagrange Bert Haanstra starring = Jacques Tati Tony Knepper Franco Ressel Mario Zanuelli Maria Kimberly… … Wikipedia

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Trafic de drogues et contrôle social

par Marcelo Colussi.

Le trafic de drogues illicites, bien qu’il existe depuis des décennies à un niveau plutôt marginal, depuis sa grande explosion dans les années 1970, est rapidement devenu plus qu’une simple activité commerciale lucrative. Dès le début, il est né comme un mécanisme complexe de contrôle social. Les grandes puissances ont décidé de le mettre en œuvre.

Comme tous les phénomènes massifs générés par le capitalisme, une fois qu’il a été mis en mouvement, il a acquis sa propre dynamique ; mais dès son origine, et cela n’a pas changé, il a commencé à se nourrir quotidiennement comme un dispositif qui permet un contrôle du collectif par les pouvoirs. En observant, en supervisant la société dans son ensemble, on peut la contrôler. Ou même plus : la conduire là où ces facteurs de pouvoir le désirent. Au nom de l’ordre public, de la sécurité des citoyens, ils ont dans les drogues illicites, une justification pour agir.

On pourrait penser que, comme toute calamité naturelle, le fléau de la consommation de drogues est aussi un problème auquel les États devraient s’attaquer. Et lorsqu’il s’agit d’un problème de santé, l’accent devrait être mis sur la prévention. Cependant, de plus en plus, elle est abordée sous un angle fondamentalement répressif. En fait, depuis une vingtaine d’années, c’est devenu un problème policier-militaire, et pour la stratégie globale du gouvernement des États-Unis, dans son ensemble, il a pris une importance capitale, une ligne directrice de son action. Ou, du moins, c’est ce qui est officiellement déclaré.

Les drogues illicites jouent le rôle d’un mécanisme de contrôle social dans un double sens : a) comme distracteur culturel et b) comme alibi pour le contrôle militaire. Les deux parties vont main dans la main et se répondent l’une l’autre. Depuis que le capitalisme a changé la face de la planète en mondialisant le commerce il y a plusieurs siècles, et avec les technologies de plus en plus puissantes qui se sont développées en conséquence, les sociétés surpeuplées qui ont émergé avec ce nouveau modèle économique ont dû être gérées avec de nouveaux outils.

L’Église catholique, qui dominait tout au long du Moyen Âge européen, n’était plus suffisante pour atteindre ces objectifs. Les sociétés surpeuplées auxquelles le capitalisme a donné naissance, tant dans les métropoles que dans les colonies du Sud, sociétés urbaines à forte concentration de population, impliquent une nouvelle architecture sociale pour les pouvoirs dominants. Dans cette perspective, les médias sont apparus, peut-être la meilleure arme pour contrôler les grands collectifs.

C’est précisément cet effet qui est recherché : un certain pourcentage de la population – des jeunes issus de milieux essentiellement défavorisés – « sortant de la circulation », restant déconnecté. Avec la drogue – plus que tout autre arsenal, des médias à la police – il est possible d’avoir un impact sur ce contrôle social. C’est ainsi qu’elle est apparue comme une politique aux États-Unis : les quartiers urbains marginaux, principalement noirs et latinos, sont devenus les principaux destinataires du trafic de drogue, et ainsi elle s’est étendue à d’autres pays : les secteurs les plus rebelles – « rebelles » en termes d’intégration au statu quo, les plus « dangereux » – sont les consommateurs choisis.

Dans le cadre de sa politique de domination mondiale, l’impérialisme étatsunien a appliqué cette prétendue lutte contre le trafic de drogue de manière durable. Depuis le début de ce circuit de vente massive de ces substances, il y a eu l’image – mythique, créée dans une large mesure par la manipulation des médias – que les gangs mafieux illégaux, ceux qui s’occupent du trafic de drogue, sont les principaux bénéficiaires de l’ensemble du commerce.

Il ne fait aucun doute que ces réseaux criminels en profitent. Mais il y a quelqu’un d’autre qui en profite. Ce « quelqu’un » est une stratégie de domination qui s’est développée dans les usines de la grande puissance impériale du XXe siècle : le gouvernement. Au nom de la lutte contre ce problème universel, l’empire occidental a développé une stratégie pour combattre ces mafias. Le problème, supposément, est attaqué à la racine. Pour cette raison, les cultures sont brûlées dans les pays qui produisent la matière première. Mais s’il y avait une réelle volonté de contenir le problème en jeu, le monde n’aurait pas été militarisé en fonction de cette lutte. Et le niveau de consommation aurait été abaissé, mais, curieusement, ce niveau ne baisse jamais.

Si ces substances illégales, produites à partir de matières premières provenant de pays pauvres qui ne représentent pas un véritable problème militaire pour les grandes puissances, continuent d’être transformées en drogues qui arrivent sur les marchés du Nord comme substances illégales, cela devient un « problème ». La prétendue lutte contre le trafic de drogue, en bref, permet à la géostratégie de l’Occident d’intervenir où il veut. Ou plus exactement : où il a des intérêts. Il est absolument hors de question de mettre un terme à la consommation.

Avec la consommation généralisée de substances qu’il ne veut pas légaliser et la diabolisation de sa production et de son trafic, l’Occident a l’excuse parfaite pour militariser et/ou contrôler toutes les régions du monde qui l’intéressent. Si la production du pavot a explosé ces dernières années en Asie centrale, notamment en Afghanistan, et de la coca dans la région andine d’Amérique latine, essentiellement en Colombie, cela obéit à un plan bien conçu qui sert sa stratégie de domination : là où il y a des ressources à exploiter – pétrole, gaz, minéraux stratégiques, eau douce, biodiversité – et/ou des centres de résistance populaire, apparaît le « démon » du trafic de drogue. C’est une politique consubstantielle à ses plans de domination mondiale, qui peuvent être clairement perçus, par exemple, dans le document de Santa Fe IV, paru en l’an 2000, dont Lewis Tambs est le principal mentor.

Fait intéressant – et qui synthétise le sens ultime de l’initiative impériale que nous sommes en train d’analyser – : Lewis, ambassadeur des États-Unis en Colombie et plus tard au Costa Rica, s’est profondément impliqué dans ce dernier pays avec le soutien des « contras » nicaraguayens, et a été souligné dans le rapport ultérieur de la Commission Tour comme un des contacts du Iran-Contras-Gate, scandale dans lequel le trafic illicite de drogue a financé cette armée contre-révolutionnaire qui a permis la dissolution de la Révolution Sandiniste. L’hypocrisie du double langage n’a pas de limites.

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